Zombillénium
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Réalisateur : |
Arthur de PINS et Alexis DUCORD | ||
Acteurs : |
Emmanuel Curtil, Kelly Marot, Alexis Tomassian, ... | |||
Genre : |
Animation | |||
Durée : |
1 h 18 | |||
Date de sortie : |
18/10/2017 | |||
Titre original : |
Zombillénium | |||
Note "critique" : |
2,33 | |||
Classement 2017 |
65 / 123 |
Résumé : |
.O xx |
.O. Dans le parc d’attractions d’épouvante Zombillénium, les monstres ont le blues. Non seulement, zombies, vampires, loups garous et autres démons sont de vrais monstres dont l’âme appartient au Diable à jamais, mais en plus ils sont fatigués de leur job, fatigués de devoir divertir des humains consuméristes, voyeuristes et égoïstes, bref, fatigués de la vie de bureau en général, surtout quand celle-ci est partie pour durer une éternité... Jusqu'à l'arrivée d'Hector, un humain, contrôleur des normes de sécurité, déterminé à fermer l’établissement. Francis, le Vampire qui dirige le Parc, n’a pas le choix : il doit le mordre pour préserver leur secret. Muté en drôle de monstre, séparé de sa fille Lucie, et coincé dans le parc, Hector broie du noir... Et si il devenait finalement la nouvelle attraction phare de Zombillénium ? .O. |
Xavier |
.O. Le résultat est sympathique au début et assez décevant sur la longueur. Le dessin et l'animation ne font pas partie des points forts du film donc je comptais sur le scénario pour me tenir en haleine mais la cohabitation entre les habitants de la ville et ceux du Parc est limitée, les scènes dans le pensionnat avec la maîtresse revêche sont quasiment toujours sur le même tempo et les divers corps de métier dans le parc (entre zombies, morts-vivants et vampires) correct mais sans plus. C'est dommage car il y avait de quoi faire et les scènes qui développent le résumé écrit ci-dessous sont les plus intéressantes mais une vague histoire de repreneur, l'intervention du diable et de sa fille ainsi que de nombreux passages fleur bleue semblent montrer que les producteurs ont eu peur d'effrayer les enfants et ont voulu faire un film (quasiment) tout public. Du coup, le second degré est quasiment absent et l'écriture "forcée" apparaît constamment au détriment des diverses émotions (ne pas avoir peur vu le titre du film est quand même désespérant, non ?). Bref, je me demande comment ce long métrage va trouver son public, les plus jeunes seront sûrement impressionnés par certains passages et les plus vieux seront sûrement blasés devant les situations montrées et l'humour forcé du représentant syndical. Je me situe dans la seconde catégorie et j'aurais du mal à conseiller ce film aux pitchounes pour les vacances. |
Première : ¤ ¤ |
Studio / Ciné Live :
# # # # |
.O. (...) le film, situé dans un Nord brumeux, sinistré, se fend en effet d'un discours social étonnant de lucidité et de profondeur, proche du cinéma british. Une émotion émerge même de ce divertissement, rappelant que les vrais monstres ne sont pas ceux que l'on croit. .O. |
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